Comme l’a dit saint Ephrem, il nous faut considérer que notre âme est semblable à un navire prêt au voyage, mais qui ne sait pas quand va venir le vent, ou encore qu’elle est semblable à une armée qui ne saisit pas quand va sonner la trompette qui annonce le combat.
S’il dit cela du navire et de l’armée qui attendent une chose qui peut-être n’arrivera pas, combien faut-il que nous nous préparions avant que vienne ce jour brusquement, que soit jeté le pont et soit ouverte la porte du monde nouveau ?
Puisse le Christ, le médiateur de notre vie, nous donner d’être prêts.
Isaac le Syrien,
Discours ascétiques 1/38 - Éditions Desclée de Brouwer
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